Né à Bruxelles en 1988, vit et travaille à Bruxelles (Belgique)
D’abord animé par sa cinéphillie, Antone Israel s’intègre à l’âge de 17 ans dans le collectif «Les films à Rayures», collectif à géométrie variable tournant exclusivement en super 8 avec lequel il réalisera plusieurs courts métrages et un moyen métrage, et pour lequel il occupera la fonction de projectionniste lors des représentations, à mi chemin entre happening et cinéma.
Délaissant peu à peu une pratique purement cinématographique pour une pratique plastique, Antone Israel réintègre des problématiques conceptuelles,narratives et formelles issues et codifiées par le cinéma dans des dispositifs sculpturaux et installatifs.
Après un passage à l’Académie Royale des Beaux-Arts de Bruxelles, quelques expositions, un poste de curateur dans l’ASBL Project(ion) Room, et beaucoup de travaux divers et variés, il se consacre maintenant exclusivement à sa démarche de plasticien explorant par le biais de l’installation, de la vidéo, du film et de l’écriture, les corollaires conceptuels de l’image en mouvement et de ses différentes constructions/déconstructions perceptives.
Né à Bruxelles en 1988
Vit et travaille à Bruxelles
Expositions personnelles
2015
« Palimpseste », 10/12, Bruxelles
« END(LESS) », ArteContemporanea, Bruxelles, currated by Pietro Gagliano
2013
« 24/10/2013-27/10/2013 », 10/12, Bruxelles
2012
« Vita Nova », l’Orangerie, Bastogne
2010
« Pas Moi », double solo show (avec Marco Desanctis), Arte Contemporanea, Bruxelles
Expositions collectives
2015
« Enlightened Fountains », Jan Colle Galerij / Loods12, Gand
« Fragil », GB58, currated by Veronique Depiesse for Zinneke, Bruxelles
Brussels Cologne Contemporaries 2015, curated by Heidi Ballet
2014
« Moussem Sound Nigth »,Palais des Beaux-Arts, Bruxelles
« Dans la poussière dorée du soir », Bruxelles
« All narrative contents », PlagiaRama, Bruxelles
« Poeticas Urbanas», La Karakola, Plaza Santa Clara, Quito (Ec)
2013
« Il n’y a pas de secret », Second Room, Anvers
« TRANSFERTS », Project(ion) Room, Bruxelles
« Polifonia », Alliance Française de Quito, (Ec)
« ProPulse 2013 », Flagey, Bruxelles
2012
« Idem », Abbaye de Forest, Bruxelles
« Idem », Centre culturel de la Semeuse, Nice (Fr)
« Image de soi ! Image de l’autre... », Musée Juif de Belgique, Bruxelles
« Last but not least», Project(ion) Room, Bruxelles
« Ce n’est qu’un début ! », Ex Dexia Art center, Bruxelles
« Chambres avec vues », Lock’O, Namur
2011
« Ile Flottante », A.B.A.D.I.R., Catania (It)
« Look behind you », Project(ion) Room, Bruxelles
« BIZAR », Musée de la mode et du design, Bruxelles
2010
« Let’s send each other a meal », Maison Olivier, Bruxelles
« 20X », T.A.G., Bruxelles
« G.U.E.S.T. », La tréfilerie, Bruxelles
« CANVAS Collectie Collection RTBF 2010 »,
Palais des Beaux-arts de Bruxelles « VISIT », ARBA, Bruxelles
« Espèce d’espace », occupation d’un immeuble avec José Luis Macas et
Zinaïda Tchelidze, Bruxelles
Projections de films réalisés et coréalisés
2010
« Les films à Rayures », Polygone étoilé, Marseille
2009
« Carte blanche Boris Lehman », Palais des Beaux-arts de Bruxelles 2007
« L’équipe », Cinéma Aventure, Bruxelles
Biennales
2014
«Ici. Maintenant. Où?», curated by Anna Raimondo et Younes Baba-Ali,
5ème Biennale de Marrakech
2011
7ième Biennale internationale de design de Saint-Etienne
Prix
Prix CBC du jeune artiste francophone pour l’installation « El tren »
dans le cadre de la collection RTBF 2010, palais des Beaux-arts de Bruxelles
Résidences
2013
Panal de arte, d’avril à juin, Quito (Ec) 2011
Bains Connective, octobre, Bruxelles 2010
P.A.F., St Erme (Fr)
Polygone étoilé, Juin, Marseille Polygone étoilé, mars à avril, Marseille
A travers l’installation, l’écriture et le film, j’articule ma pratique autour des différentes strates temporelles, narrative et perceptive engendrées par l’image en mouvement et plus largement je tente de conceptualiser et contextualiser la durée d’une oeuvre à travers des systèmes de métamorphoses.
Dans ma pratique installative, les dispositifs que je mets en oeuvre fonctionnent comme une soudure entre le potentiel formel et la particularité de la fiction qui s’y déploie. Un objet ou un mécanisme engendre un système narratif spécifique à l’utilisation technique de cet objet au sein du dispositif, intégrant de ce fait une certaine poètique de la causalité.
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